LE must

L’expérience gustative passe par l’origine d’un café

Un profil équilibré et aromatique ne suffit plus : les aficionados de grains torréfiés sont de plus en plus avides d’expériences. Après avoir veillé au bien-être des artisans fermiers et à l’implémentation de pratiques écoresponsables, les consommateurs migrent peu à peu vers la quête du lieu d’origine et des récits liés à l’origine des grands crus.

Les attentes de ces derniers sont élevées. Enjeux économiques de taille, pratiques durables, conditions de vie des communautés, force est de constater que l’univers du café est en constante progression. La nouvelle tendance en matière de consommation? Plonger au cœur des origines des grains, tout comme la complexité du terroir bourguignon ou bordelais, par exemple, anime les œnophiles : «Chez Nespresso, nous savons que la découverte et l’aventure du café sont tout aussi importantes que le goût lui-même », lance Karsten Ranitzsch, Chef Café au sein de la filière helvète. « Avec (nos) nouveaux cafés, nous voulions emmener les gens à vivre l’aventure mythique des lieux d’origine (de ceux-ci) », explique M.  Ranitzsch.

Propulsé par un désir de repousser les frontières de l’information, où déguster une tasse ne suffit plus à contenter les amateurs, Nespresso propose depuis peu quatre nouveaux cafés en édition limitée, ainsi qu’une excursion au cœur de leurs origines culturelles respectives. Conséquence directe : les dosettes arborent un design soulignant les lieux de naissance de ces crus, soit l’Éthiopie, le berceau de l’Arabica, ainsi que l’Ouganda, lieu de naissance présumé du Robusta. En signant les quatre nouveaux étuis  des formats Original et Vertuo, l’illustratrice londonienne, Mariana Rodrigues, souhaitait célébrer ainsi que donner vie aux récits entourant ces crus légendaires. « En créant le design, j’ai voulu démontrer clairement le dynamisme de ces deux cultures ainsi que leurs belles histoires de café et de leur héritage », explique l’artiste.

Rendre hommage aux paysans et à leur folklore se manifeste dorénavant de diverses façons. Au fait, pour la petite histoire : un récit légendaire veut qu’un berger éthiopien ait remarqué à quel point son troupeau de chèvres était excité après avoir brouté les fruits du caféier. En oubliant une branche de cet arbuste sur un poêle par mégarde, celui-ci fut séduit par les délicieux arômes qui s’en dégageaient… Ainsi donc, le berger africain venait d’effectuer une découverte révolutionnaire. Cette fable, dépeignant l’Éthiopie comme le berceau de l’arabica, fût racontée pour la toute première fois à Rome, en 1671.

Chez Nespresso par exemple, la présente offre est bonifiée par une série d’accessoires inspirés par les cérémonies de café traditionnelles africaines. Le studio de design suisse atelier oï a d’ailleurs conçu des plateaux en acier inoxydable, aux motifs martelés à l’aspect volontairement artisanal, pour souligner les communautés issues des hauts plateaux d’Éthiopie et les terres d’antan du Buganda. Il n’y a aucun doute à cet effet, un vent de changement s’abat sur l’industrie : il est dorénavant impossible d’ignorer les caféiculteurs et les communautés ayant contribué à la naissance de la boisson la plus consommée au monde, après le thé.

Honorer une fois pour toutes les fondements, familles et descendants du nectar caféiné, ainsi que la multitude de traditions qui  ont donné fruit à son lungo favori, voilà un mouvement qui semble clore la boucle et susciter de plus en plus l’engouement des consommateurs – pour le plus grand bien de tous.

La collection de cafés Arabica Ethiopia Harrar, Robusta Uganda et d’accessoires sont offerts pour une durée limitée dans les boutiques Nespresso ainsi qu’en ligne, sur le site nespresso.com.