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Ça beigne !

Beignes

Depuis très longtemps, le donut est le symbole de la pâtisserie préférée des officiers de police. Pourtant, ce délicieux petit dessert a beaucoup plus à offrir et a beaucoup évolué depuis qu’on l’a créé il y a très longtemps. | Par Michel Therrien

Mais pourquoi parler du donut ? C’est qu’aujourd’hui, 5 juin, on le célèbre… et pour cause. Car, qui n’aime pas ce petit dessert qui rappelle l’enfance et les petits plaisirs gastronomiques de la vie.

S’il est officiellement apparu en 1378, la première attestation du mot « beigne » au Québec a été consignée par le père jésuite Pierre-Philippe Potier dans un lexique qu’il aurait rédigé vers 1743. Et pourquoi « beigne » ? Tout simplement un dérivé de « baigne » parce que la pâtisserie trempe dans l’huile.

Un produit popularisé par plusieurs chaînes

C’est dans les années 1950 qu’il est officiellement popularisé alors que des chaînes de restauration rapide telles que Dunkin’ Donuts, Krispy Kreme et Tim Hortons. Depuis, ils sont aussi disponibles dans les supermarchés, les épiceries et de plus en plus de boutiques spécialisées. CRémy située sur le Plateau Mont-Royal en est un exemple.

Quand le beigne devient une vraie pâtisserie

Son propriétaire, le chef pâtissier Rémy Couture, a d’ailleurs remporté le titre de Roi des beignes lors du concours Donut Showdown sur Food Network.

Depuis 2011, il propose des beignes faits à partir de véritables ingrédients, vrai beurre, vraie crème et vrai sucre, le tout sans aucun agent de conservation, aucun colorant et aucun additif.

De plus, il se targue d’emballer ses plaisirs gastronomiques de manière colorée et créative afin d’offrir une expérience complète à ses clients.

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